Difficile d’avoir le coup de foudre pour la plus grande ville birmane: bruyante et peu reluisante, l’ancienne capitale n’est pas belle. Il faut prendre le temps de flâner dans ses rues bordées d’immeubles coloniaux pour que son charme opère. On y découvre alors une ambiance délicieusement surannée, qui a disparu de bien des métropoles asiatiques. Portrait en sépia.
Article paru dans le cahier voyage de La Presse le 10 juin 2014.